Catégorie : Définition Marketing

  • CPC, CPM, CTR, CPA : Guide ultime des définitions

    La publicité sur le web et le marketing digital utilisent souvent des termes complexes et spécifiques tels que CPC, CPM, CTR ou CPA. Et vous avez tendance à vous y perdre un peu dans tout ce charabia technique.S’il est facile de trouver leur définition en faisant une simple recherche Google, savoir lequel choisir et combien investir pour planifier ou calculer vos budgets publicitaires est une toute autre histoire.

    Encore beaucoup de dirigeants, ou même de responsables communication se disent qu’il suffit d’afficher sa pub sur n’importe quel réseau social comme Linkedin ou Facebook, ou encore de mettre de la pub sur Adwords, et que cela va rapporter des clients.

    Ce n’est malheureusement pas le cas sans une compréhension claire des données analytics et des indicateurs de performances (KPI pour Key Performance Indicator).Alors comment utiliser ces indicateurs de performance et réussir à en évaluer l’efficacité et les coûts ?Sachez qu’il existe de plus en plus de données extrêmement précises pour calculer le succès des publicités online, que ce soit sur Google Adwords, Linkedin Ads, Instagram, ou encore Facebook Ads.

    [elementor-template id= »14508″]

    Le CPM : le Coût par Mille

    Indicateur le plus connu et le plus basique, le CPM représente le coût par mille impressions.

    Une impression (ou affichage) est comptabilisée à chaque fois que votre publicité apparaît sur une page internet. Il est beaucoup utilisé dans le cadre de campagnes Display.En résumé, le CPM est le coût à payer pour afficher votre publicité mille fois.

    Un bémol ici : une publicité diffusée et comptabilisée dans votre CPM ne veut absolument pas dire à 100% qu’elle a été vue par l’internaute. En effet celui-ci regardait peut être ailleurs à ce moment là.

    Formule de calcul du CPM

    CPM = (Total dépensé / Nombre d’impressions) x 1000

    Pour faire simple, si vous choisissez d’acheter des affichages publicitaires avec un coût par mille de CHF 5.-, vous paierez CHF 5.- pour 1’000 affichages peu importe la durée de ces affichages.

    Ainsi, pour 10’000 affichages, votre campagne vous coûtera CHF 50.- et ainsi de suite.Ce qu’il faut savoir c’est que plus vous achetez d’affichages, en général moins cher sera le CPM.

    Il est donc beaucoup plus intéressant d’acheter un grand nombre d’affichage puisque vous n’avez aucune limite de temps pour réaliser vos campagnes publicitaires.Toutefois, 1’000 affichages ne veulent pas dire 1’000 clics.

    Ainsi, vous devrez proposer des affichages intéressants et engageants afin d’obtenir un taux de clics maximal.

    Le CPC : le Coût par Clic

    Plus populaire que le CPM, le CPC représente, tout simplement, la rémunération basée sur le nombre de clics sur votre publicité fait par chaque visiteur unique.

    Vous allez donc payer la régie (ou la plateforme publicitaire) à chaque fois que quelqu’un cliquera sur votre annonce.Le coût du clic est défini par un système d’enchères selon les mots-clés utilisés.

    Un mot-clé représente un terme de recherche, et son coût est évalué suivant le nombre de concurrents qu’il a.

    Par exemple, le terme « marketing » sera bien plus cher que « coquelicot« .En résumé, le CPC c’est ce que vous payez pour obtenir un clic sur votre publicité.

    Formule de calcul du CPC

    CPC = Total dépensé / Nombre de clics

    Étant facturé à chaque clic de l’utilisateur sur votre lien, bannière ou post sponsorisé, le CPC a l’avantage d’obtenir un calcul du retour sur investissement (ROI) quasi immédiat. Les campagnes optimisés pour le CPC sont particulièrement efficaces et permettent de savoir rapidement si votre campagne est pertinente et si cela vaut la peine d’en augmenter les budgets, et de développer un tunnel de conversion et de vente plus complexe à la suite du clic.

    Sachez toutefois que généralement sur les réseaux de diffusion publicitaire, l’incitation trop marquée au clic est interdite.

    Le coût par clic s’applique aussi aux liens sponsorisés et aux liens contextuels.Comme le coût par clic se calcule en fonction de chaque clic effectué par chaque visiteur unique, les cookies sont là pour éviter de comptabiliser lorsqu’une même personne clique plusieurs fois sur la publicité.Retenez également que le clic ne donne aucune indication sur la qualité de la visite, qui peut être très brève.

    Il faut donc définir votre objectif : préférez-vous privilégier la visibilité ou l’engagement (le clic) ?

    Le CTR : Click Through Rate ou taux de clics

    Si le CPM et le CPC sont plutôt orientés sur le coût de votre publicité, le CTR, lui, mesure son efficacité.

    Quel que soit votre choix, ce KPI (Indicateur de Performance) est le plus important.

    Il vous permet de mesurer la pertinence du mot clé choisi pour une campagne Google Adwords par exemple, ou la qualité rédactionnelle et visuelle de votre bannière ou de votre post.

    En effet, si l’on s’arrête simplement sur le nombre de clics, celui-ci peut être faussé par le nombre d’impressions. Rappelez-vous qu’une publicité imprimée en grand nombre aura davantage de chances d’obtenir des clics.

    Si vous divisez ces deux chiffres, vous obtiendrez un pourcentage d’efficacité de l’annonce plus pertinent : le pourcentage de clics, en tenant compte du nombre de fois où il a été imprimé.En résumé, le taux de clic représente le ratio, en pourcentage, entre le nombre de clics et le nombre d’affichage de votre publicité.

    Formule de calcul du CTR

    CTR = (Nombre d’impressions / Nombre de clics) x 100

    Ainsi, si votre publicité a été vue 100 fois et qu’une seule personne a cliqué dessus, dans ce cas, le CTR sera de 1%.

    CPA : le Coût par acquisition (ou Coût par action)

    Le CPA est un nom générique qui, selon la nature de l’action que vous allez mettre en place, prend le nom de CPL (coût par prospect généré) ou de CPS (coût par vente finalisée).

    C’est un excellent indicateur pour mesurer l’efficacité de vos annonces ou publicité en ligne car il indique le prix que vous allez payer à chaque fois que quelqu’un effectue une conversion.

    Cette conversion représente la finalisation d’une action que vous avez jugée utile sur votre site par un visiteur.

    Par exemple le téléchargement d’un guide sur une de vos Landing Pages, un achat en ligne, l’acquisition d’un lead qui sera traité par vos commerciaux depuis votre CRM, etc.Pour mesurer efficacement votre CPA, il convient de mettre en place votre tunnel de conversion et d’en définir les indicateurs avant le lancement de vos campagnes de marketing digital.En résumé, le CPA, c’est le coût pour obtenir une conversion.

    Formule de calcul du CPA

    CPA = Total dépensé / Nombre de conversions

    En théorie, le CPA maximum ne doit pas dépasser votre marge obtenue sur le produit vendu.

    Par exemple, si la marge sur uns de vos produits est de CHF 20.- alors votre CPA ne doit pas dépasser ces CHF 20.-. Si vous dépassez votre CPA maximum, vous perdez de l’argent à chaque conversion, ce qui n’est donc plus rentable.

    Pour que votre CPA soit optimisé au mieux, je vous conseille de coupler votre campagne avec des objectifs de conversion sous Google Analytics. Un outil marketing comme Hubspot peut également faire tout cela automatiquement pour vous.

    Surtout, n’oubliez pas de définir vos objectifs en début de campagne. Il est impératif de savoir ce que vous visez.

    En bref…

    Comme vous l’aurez compris, pour que votre campagne publicitaire soit efficace, vous devez absolument connaître et maîtriser ces 4 termes qui sont aussi importants que complémentaires.

    En maîtrisant tous ces points, vous serez capable de réussir vos campagnes publicitaires et ainsi d’atteindre vos objectifs de marketing digital.

  • Le Smarketing : Réunir les forces vente et marketing

    Faire de l’inbound marketing est sans doute la meilleure chose que vous puissiez faire pour développer la clientèle de votre entreprise.

    Toutefois, ces tactiques marketing sont totalement superflues si vos commerciaux ne s’alignent pas avec les équipes marketing.

    Plus bas dans l’article un Bonus vous est offert :
    6 questions à poser à votre agence avant de les engager

    Le Smarketing est l’art de réunir Vente et Marketing pour augmenter ses ventes et rendre ses équipes plus performantes. C’est également à mettre en place dans le but d’une cohésion d’équipe pour définir des objectifs communs et les atteindre.

    Cet anglicisme est né de la contraction suivante :

    Sales + Marketing =

    Les entreprises où les commerciaux collaborent étroitement avec les marketeurs voient leurs revenus augmenter de 20% en moyenne

    Pour mettre en place le Smarketing dans votre entreprise, il va falloir définir des objectifs  mesurables que chaque équipe s’engage à atteindre, afin qu’il y ait une responsabilité mutuelle envers ce qui marche et ce qui ne marche pas.

    Par exemple, un document écrit de type SLA (Service Level Agreement), qui prends une forme de mini-contrat interne, est mutuellement convenu entre l’équipe marketing et l’équipe de vente. Chacune des équipes doit accepter mutuellement de suivre un certain nombre de principes pour mener l’entreprise à ses objectifs.

    Les objectifs Smarketing doivent donc être définis lors d’une séance commune, en présence de la direction, et réévalués chaque mois ou chaque trimestre pour identifier les opportunités d’amélioration des deux équipes.

    Pour réussir à instaurer le Smarketing au sein de votre entreprise, il est donc évident qu’une bonne relation et une collaboration réelle entre les équipes commerciales et marketing soit établie.

    Dans cet article je vais vous expliquer plus en détail comment mettre en place le Smarketing au sein de vos équipes.

    Formation et sensibilisation de la force de vente au travail du département marketing, et inversement

    1. Parlez la même langue

    Si votre équipe marketing et votre force de vente ne parlent pas la même langue, alors la communication ne sera pas efficace.

    Cela vous paraît sans doute évident. Cependant, chacune des équipes ont, à l’origine, leurs propres processus, leurs propres règles et leurs propres objectifs.

    Définir les termes clés de votre stratégie auprès des marketeurs et des vendeurs est un pré-requis pour commencer à bâtir un complicité durable.

    L’élaboration d’un ou plusieurs personas répond également à cet objectif et permet un bon départ dans l’unification des équipes.

    Par exemple :

    • Comment appelle-t-on un visiteur récurrent du site internet ?
    • Qu’est-ce qu’un lead, et qu’est-ce qu’un prospect ?
    • À partir de quel moment parle-t-on de prospect ou de Lead ?
    • Quels données dans le CRM permet de définir précisément ces critères ?
    • Quels sont les critères qui définissent que le lead est qualifié ?
    • A quel moment le marketing doit-il transmettre les leads qualifiés à l’équipe commerciale ?
    • Durant la vente, quelles actions marketing continuent à être exécutées auprès des prospects chauds ?

    Pour réussir cet exercice, mettez-vous autour d’une table tous ensemble, et définissez une liste des termes à employer pour définir tout ce qui relie le marketing et les ventes, puis définissez les critères qui permettent de les identifier au sein de vos systèmes de données.

    Durant cette séance profitez-en également pour montrer le travail concret des uns et des autres, afin que les deux mondes se comprennent bien. Par exemple je suis certain que les commerciaux sont très curieux de voir les campagnes de publicité en cours, les articles de blog publiés par l’équipe marketing, les landing pages, etc.

    Cela donnera une vraie dynamique commune et de beaux échanges, croyez-moi !

    A l’issu de la séance écrivez au propre tout ce qui a été convenu, c’est le point de départ de votre document SLA (Service Level Agreement). Chacun devra signer ce document dans le but de s’engager mutuellement sur ces principes.

    2. Adoptez une vision commune

    Les techniques de la force de vente sont bien souvent inconnues des responsables marketing.

    Il en est de même pour les campagnes marketing en cours que la force de vente ignore ou ne connait que très vaguement.

    Souvent les visions envers le travail des uns et des autres sont erronées. Par exemple les commerciaux pensent que les marketeurs « font de la pub » et que c’est leur seul rôle. A l’inverse les marketeurs croient que les vendeurs sont un peu feignants et attendent que les rendez-vous tombent tout cuit pour s’y rendre.

    Ce qui est bien entendu faux, et seule une bonne communication entre les équipes permet d’expliquer ce qui est entrepris est comment est-ce que cela est mis en oeuvre pour la société.

    Ce cloisonnement est exactement ce que le Smarketing souhaite éviter à tout prix !article smarketing 5 reunir marketing vente infographie

    Tunnel de vente unifié pour adopter le Smarketing
    Le tunnel de vente intégrant la notion de Smarketing au sein de l’entreprise

    En plus des objectifs stratégiques de votre entreprise, les fonctions Vente et Marketing doivent mutuellement comprendre ce que l’autre exécute, et pourquoi il l’exécute.

    Cette démarche de sensibilisation réciproque permettra d’harmoniser les messages du début jusqu’à la fin du cycle de vente, et vos clients vous remercieront car l’ensemble gagnera en cohérence, avec un impact positif direct sur votre chiffre d’affaires.

    La création en collaboration vente et marketing d’un premier persona, ou client idéal que l’on souhaite attirer à l’entreprise, et le point de départ de cette vision commune.

    3. Complétez votre SLA (Service Level Agreement) en y ajoutant des objectifs chiffrés

    Un Service Level Agreement (SLA) est un « contrat interne » passé entre vos équipes Vente et Marketing. Il définit le cadre des actions de chaque fonction, les termes et le langage commun, et les objectifs chiffrés à atteindre d’une part et d’autre.

    Quels objectifs pour les marketeurs ?

    • Nombre de prospects à fournir à l’équipe commerciale chaque mois
    • L’engagement des prospects (à quel niveau du tunnel d’achat devraient-ils se trouver ?)
    • La qualité des prospects (sont-ils en accord avec la cible visée ?)
    • Optimisation des coûts d’acquisition de nouveaux prospects et des actions destinées à fidéliser les clients actuels
    • La qualité de la base de données (fiabilité des informations sur les contacts)

    Quels objectifs pour les vendeurs ?

    • Nombre ou pourcentage de prospects à contacter
    • Nombre de relances par prospect
    • Poids des messages à communiquer (quelle durée minimale à respecter par appel téléphonique ?)
    • La mise à jour de la base de données (si par exemple un prospect demande à ne plus être sollicité)
    • A quel moment engager les actions concrètes de Social Selling notamment en entrant en relation avec les leads sur Linkedin ?

    4. Reporting intra-équipes : pérenniser votre Smarketing

    Un reporting mensuel ou trimestriel entre vos départements Vente et Marketing donnera de la transparence à vos équipes.

    Vos chargés du marketing pourront dès lors avoir un aperçu de la réceptivité des prospects qu’ils ont générés.

    À l’inverse, votre force de vente partagera son expérience avec les leads reçus. Encouragez vos équipes à partager leurs idées !

    Connecter votre CRM et votre logiciel de Marketing est un passage obligé vers le succès du Smarketing.

    Ou utiliser une plateforme qui intègre CRM et fonctionnalités marketing, comme Hubspot par exemple.

    Chaque équipe doit être consciente de son impact l’une envers l’autre.

    Par exemple l’équipe marketing doit connaître le nombre de ventes réalisées suite aux leads qu’elle a fournie, et l’équipe de vente doit remonter des informations au marketing sur ce qui s’est déroulé avec ces leads afin que le marketing puisse optimiser ses campagnes pour fournir une meilleure qualité de leads et que les commerciaux n’aient pas à consacrer du temps à des leads peu qualifiés.

    Pour établir ce reporting, vous pouvez commencer par réviser ensemble les indicateurs de performance marketing du rapport que votre responsable marketing doit faire pour votre hiérarchie.

    Cliquez ici pour télécharger les questions

    BONUS : N’engagez aucune agence marketing avant de leur avoir posé ces 6 questions

    Pour conclure

    Le Smarketing, c’est-à-dire l’alignement entre les équipes marketing et commerciales est essentiel, car il ne se base pas sur des émotions, mais sur des données quantifiables.

    Lorsque les objectifs de l’entreprise ne sont pas atteints, il est facile de reporter la faute sur l’autre équipe.

    Les départements commercial et marketing sont dans le même bateau : leur objectif premier doit être de favoriser la croissance de l’entreprise et de vendre.

    Et c’est ce que permettra le Smarketing.

    Si vous avez aimé cet article et qu’il vous a été utile, laissez-moi un commentaire ci-dessous et partagez-le sur vos réseaux sociaux.

  • Community Management : choisir un stagiaire ou une agence marketing ?

    Auparavant, le travail du community manager était principalement régi par des stagiaires ou des employés, ne leur demandant que d’afficher du contenu et d’entretenir les commentaires et discussions pour tirer profit des diverses plateformes de réseaux sociaux.

    Aujourd’hui, nous faisons face à un nouveau paysage sur les réseaux sociaux. Il s’est passé des changements majeurs et rapides, comme l’introduction par Facebook d’une mise à jour de son algorithme qui supprime le contenu des marques dans le fil d’actualité. Ou l’annonce de Twitter qui ne permet plus que le même contenu soit affiché sur plusieurs comptes.

    Pour rester à jour avec ces changements, il faut qu’un expert en la matière garde un œil attentif pour s’assurer que les marques pour lesquelles il travaille connaissent un succès continu sur les plateformes de réseaux sociaux.

    Bien qu’un stagiaire en marketing digital puisse être utile pour entretenir vos réseaux sociaux, les enjeux sont devenus tellement importants pour les entreprises qu’il devient plus rentable de penser le community management comme un poste qui doit permettre un réel retour sur investissement.

    [elementor-template id= »14508″]

    Tout d’abord, qu’est-ce qu’un Community Manager ? (aussi appelé Animateur de communauté)

    Wikipedia nous donne cette définition marketing :

    L’animateur de communauté ou CM, l’abrégé de community manager, est un métier qui consiste à animer et à fédérer des communautés sur Internet pour le compte d’une société, d’une marque, d’une célébrité, d’une institution ou d’une collectivité territoriale.

    Son rôle au sein de l’entreprise est donc clé, il est la voix et le reflet de votre entreprise sur les réseaux sociaux, il fédère autour de votre entreprise une audience de personnes qui potentiellement peuvent devenir vos clients demain, ou propager les messages de votre entreprise à leur réseau de manière virale et exponentielle.

    Pourquoi choisir une agence de marketing digital pour s’occuper de votre Community Management?

    • C’est financièrement plus viable.
    • L’agence aura de nouvelles idées et apportera une réelle dynamique à vos comptes de réseaux sociaux.
    • Une agence travaille avec plusieurs entreprises et vous apporte une expérience globale, éprouvée et testée sur différents marchés.
    • L’agence aura un oeil externe et vous apportera une vision de la communication digitale de votre entreprise plus en adéquation avec les attentes réelles de votre audience.

    Le monde des réseaux sociaux est en constante évolution

    Une agence marketing est informée des changements d’algorithmes et des nouvelles tendances de chaque réseau social, et permettra d’adapter votre stratégie et le contenu en fonction des dernières mises à jour.

    Une agence de marketing digital va donc prendre en compte les changements en cours ou à venir, et être agile, de sorte à mieux atteindre vos objectifs.

    De plus, l’agence va penser en priorité à un plan stratégique globale, orienté vers les moyens à mettre en oeuvre pour trouver de nouveaux clients grâce à votre marketing en général, ce que ne fera pas forcément un stagiaire non expérimenté, quand bien même sortirait-il d’une école comme CréaGenève qui forme des étudiants d’excellence, tout juste sorti d’une école ou en cours de formation, ceux-ci n’ont pas une vision suffisamment claire des processus de vente et d’acquisition client dont à besoin une entreprise, et quoiqu’il en soit ne peuvent avoir la force de frappe d’une agence spécialisée en marketing digital.

    Un stagiaire qui publie au gré des évènements et news de votre entreprise, sans plan stratégique, ne rendra pas service à votre marque.

    Il faut prendre en compte également que vos réseaux sociaux doivent vivre en permanence afin de cultiver une audience fidèle d’abonnées et d’amoureux de votre marque, malheureusement le stagiaire sera là pour un temps limité, et changer de stagiaire implique des absences de publications entre le départ de l’ancien stagiaire et l’arrivée du nouveau stagiaire.

    Cette irrégularité est un signal négatif pour votre audience qui le ressent fortement.

    L’élaboration d’un plan pour les réseaux sociaux exige que l’expert en réseaux sociaux se réunisse avec toutes les autres personnes qui exécutent d’autres campagnes de marketing (publipostage direct, emails et newsletters, campagnes de référencement, stratégies omni-canales).

    Vous éviterez ainsi le cloisonnement de vos efforts et augmenterez la synergie de tous vos moyens marketing – en ligne et hors ligne.

    L’agence de community management sera également en mesure d’évaluer quels sont vos principaux objectifs pour l’année et de les traduire en contenu et en campagnes de réseaux sociaux.

    En parlant de contenu, un community manager ne se contentera pas d’élaborer la stratégie en tenant compte des autres efforts de marketing, mais il élaborera également un calendrier éditorial dédié aux réseaux sociaux en lien avec les stratégies de contenus de votre site, comme vos stratégies d’Inbound Marketing par exemple.

    Protégez votre réputation et aidez vos clients

    Les community managers sont constamment à l’affût de chaque message, critique et commentaire concernant une marque sur les réseaux sociaux.

    Non seulement ils maîtrisent les processus, mais ils savent aussi comment se comporter au sein de la plateforme, en représentant la marque.

    Embaucher une personne qui a beaucoup d’expérience dans ce domaine est un atout important, car en quelques secondes, un community manager peut aider à atténuer et à résoudre un problème qui aurait pu s’envenimer rapidement et de manière virale.

    Il est essentiel que le responsable des réseaux sociaux communique avec le bon langage de marque au sein de vos réseaux sociaux (le “Tone of Voice” de votre marque).

    L’action de répondre à un commentaire, qu’il soit bon ou mauvais, devrait également être faite dans un certain délai. Le plus tôt sera le mieux.

    Envisagé de manière globale, l’impact économique d’un bon community manager peut être considérable.

    Votre communication et la tonalité du web de votre entreprise est un ensemble qui doit être cohérent. Les articles de votre blog, votre site, vos réseaux sociaux, et même vos emails doivent adopter un ton similaire.

    S’entourer d’une agence marketing qui prends en compte vos besoins en community management permettra d’aligner l’ensemble, autour d’une même charte éditoriale.

    Pourquoi choisir un stagiaire n’est pas une bonne idée pour animer et gérer les réseaux sociaux ?

    Le marketing des réseaux sociaux exige la compréhension de vos produits, de vos services, de la philosophie de votre entreprise, de votre savoir faire et savoir être.

    L’une des principales raisons d’utiliser le marketing des réseaux sociaux est d’accroître la notoriété de la marque, de fournir du support à vos clients, et de développer vos ventes.

    Un stagiaire ne comprend pas nécessairement tous les enjeux, même si c’est un jeune prometteur, toute la chaîne de vente d’une entreprise, de l’acquisition de prospects, à la vente, à la fidélisation et à la satisfaction client requiert de l’expérience.

    L’image de marque n’est pas uniquement constituée de votre logo et de belles photos, c’est un tout, et vos réseaux sociaux sont le miroir de la façon dont vos clients perçoivent votre entreprise.

    Vous imaginez donc bien après lecture de cet article qu’une tâche d’une telle importance comme la gestion de vos réseaux sociaux ne peut être négligée et confiée intégralement à un jeune stagiaire. CQFD.

  • Qu’est-ce qu’une landing page ? (ou page de destination)

    S’il y a une chose dont vous entendez parler partout aujourd’hui dans le monde du web marketing, c’est bien des Landing Pages, aussi appelées Pages de Destination, ou Pages d’Atterrissage.

    Si votre objectif est d’améliorer le retour sur investissement de votre site, d’augmenter le nombre de prospects pour votre entreprise, et de générer plus de ventes, alors vous devriez les utiliser, sinon vous passez à côté d’un sacré potentiel !

    Les pages d’atterrissage et d’acquisition de leads s’inscrivent parfaitement au sein d’une stratégie digitale comme l’Inbound Marketing. Elles en sont même un pilier fondamental.

    [elementor-template id= »14508″]

    Qu’est-ce qu’une landing page  ?

    Une page de destination (ou Landing Page) est une page de votre site internet sur laquelle vous pouvez proposer une ressource en échange des informations de contact d’un visiteur.

    Ces ressources ont une valeur particulière pour le visiteur qui laisse ses données, elles lui apportent un bénéfice immédiat. Les formes de cette ressource « Premium » et donnée gratuitement sont divers: guide, ebook, livre blanc, vidéo, podcast, webinar, etc.

    C’est de cette manière que les spécialistes du marketing peuvent capturer des informations de contact à l’aide d’un formulaire qui permet par la suite de préparer et qualifier ces contacts en vue de leur proposer vos produits ou services.

    Exemple de Landing Page

    Exemple d’une page de destination sur le site FusionTen.ch

    Obtenir des contacts de cette manière est bien plus performant qu’un simple formulaire de contact, puisqu’ils permettent de créer une relation avec des clients potentiels, bien avant qu’ils aient décidés de vous demander une offre.

    Les contenus des landing pages sont souvent éducatifs et répondent aux interrogations que se pose l’internaute lors de ses recherches sur Google par exemple. Ils l’aident également à progresser dans sa démarche de recherche de solutions.

    Ce flux de nouveaux contacts crée au travers d’une ou plusieurs pages de destination est très qualifié pour votre entreprise, étant donné que si la ressource intéresse l’internaute qui la télécharge, c’est qu’il s’intéresse donc aux problèmes que résout votre entreprise pour lui.

    À quoi sert une page de destination et que peut-on mettre comme ressource premium sur celles-ci ?

    Les pages de destination ont un objectif principal: générer des leads qualifiés pour votre entreprise.

    Voici quelques exemples classiques d’utilisation de pages de destination pour établir une relation avec vos futurs clients :

    Livres électroniques et livres blancs

    Si vous avez écrit un article de blog présentant un sujet pertinent pour votre public, vous pouvez permettre à un visiteur de compléter le sujet avec un bonus gratuit à télécharger.

    En développant davantage le sujet dans un PDF à télécharger, vous lui fournissez une valeur supplémentaire et votre expertise.

    Au final, ce contact s’intéressera bien plus à votre marque et à ce que vous pourrez lui proposer d’un point de vue commercial dans un deuxième temps.

    Inscription à un événement

    Les événements que votre entreprise organise ou auxquels elle participe lors d’un salon par exemple sont une excellent moment pour collecter des nouveaux contacts.

    Les landing pages sont alors très pertinentes dans ce cas, pour lancer les invitations auprès de votre base de données de contacts et en acquérir de nouveaux avant et après l’évènement ou la conférence à laquelle vous participez.

    Complément pour l’évènementiel:

    Nous vous recommandons de consulter notre article complémentaire sur le sujet évènementiel: Comment intégrer avec succès un événement dans votre stratégie digitale ?

    Essai gratuit d’un produit

    Offrir aux gens une démo gratuite de votre produit ? Votre offre de démonstration pourrait utiliser sa propre page de destination.

    Amenez les utilisateurs à saisir leur donnée sur une landing page où ils peuvent s’inscrire pour un essai gratuit de votre logiciel par exemple.

    Profitez-en pour récupérer des données qui vous permettront de lui offre par la suite la meilleure expérience client (démo personnalisée par exemple, en ayant récupéré quelques informations sur son entreprise ou ses problèmes principaux).

    Questionnaire ou Quiz

    C’est à la mode et ça marche très fort !

    Les Quiz interactifs sont ludiques et intéressants à remplir, et permettent pour obtenir son résultat de demander les données de contact en échange.

    Un excellent moyen très performant de capter de nouveaux leads !

    quiz budget pme

    Exemple de Quiz interactif et ludique

    Pourquoi les pages de destination sont-elles si importantes pour un marketing moderne ?

    Trop d’entreprises envoient leur trafic publicitaire, leurs newsletters ou leurs publications de réseaux sociaux directement sur leur page d’accueil. C’est une énorme erreur et autant d’opportunités manquées !

    Par exemple, imaginons qu’une annonce Google AdWords ou votre référencement soit associée à l’un de vos meilleurs mots-clés concernant votre service ou votre produit.

    Même si vous annoncez à quel point votre entreprise est formidable (une vantardise aux yeux de votre client car aujourd’hui il a un choix énorme et sans limite et peux vous comparer facilement avec Internet !) et que quelqu’un clique sur cette annonce, allez-vous l’envoyer vers votre page d’accueil qui présente votre entreprise ?

    Quand ils atterrissent sur votre page d’accueil, que sont-ils censés faire ? Que voulez-vous qu’ils fassent ?

    C’est donc plutôt vers une page de destination que vous devriez envoyer votre trafic sur des mots-clés bien précis, alignés sur ce que vous souhaitez que l’internaute fasse. Et bien sûr, la page sur laquelle il atterrit doit répondre à toutes ses interrogations, et le guider.

    N’oubliez pas qu’un visiteur de votre site est seul face à son écran, il n’a pas de commercial ni une personne de votre entreprise pour l’accompagner et répondre à ses questions. En utilisant les landing pages à bon escient, vous contribuez à guider sa visite vers vos objectifs.